Dans les plans de développement des compétences, la formation linguistique reste souvent cantonnée à des objectifs techniques : gagner en fluidité à l’oral, rédiger des emails professionnels, participer à des réunions en anglais, espagnol ou allemand.
Mais derrière ces attendus opérationnels se cache une autre réalité — psychologique, managériale et profondément humaine.
Aujourd’hui, de nombreuses études soulignent un lien clair entre l’apprentissage des langues et des leviers RH essentiels comme :
- la motivation et la projection dans l’entreprise,
- le sentiment d’utilité et de reconnaissance,
- la confiance en soi,
- l’engagement actif dans les missions internationales.
Ce que disent les chiffres
L’étude menée en 2023 par Preply Business auprès de 1200 salariés européens est révélatrice :
- 65 % des collaborateurs souhaiteraient que leur entreprise propose des cours de langue.
- 94 % estiment que cela renforcerait leur motivation au travail.
- 49 % y voient un levier de fidélisation et de sentiment d’appartenance.
Derrière ces chiffres, on retrouve une tendance de fond : apprendre une langue, surtout à l’âge adulte, est une expérience engageante, valorisante, qui donne du sens.
Apprentissage linguistique et QVCT : un couplage à fort impact
Dans le cadre d’une démarche QVCT (Qualité de Vie et des Conditions de Travail), la formation linguistique présente plusieurs avantages et bénéfices trop peu mis en lumière :
Un développement des compétences “douces”
La pratique d’une langue étrangère stimule l’agilité mentale, l’ouverture culturelle, l’assertivité et l’écoute active : des compétences transversales qui nourrissent la qualité des interactions au travail.
Une dynamique de progression valorisante
Contrairement à certaines formations purement descendantes, les cours de langue permettent aux collaborateurs de mesurer concrètement leurs progrès, ce qui nourrit l’estime de soi professionnelle.
Un espace de respiration cognitive
Pour nombre de participants, ces temps de formation sont perçus comme un “moment pour soi” dans la journée de travail, contribuant à l’équilibre psychologique et à la réduction du stress.
Des effets tangibles… et durables
Chez LDS Langues, nous observons que les formations en langes étrangères, lorsqu’elles sont finement adaptées aux besoins professionnels de chaque collaborateur, produisent bien plus que de simples progrès en anglais ou dans une autre langue.
Elles permettent de :
- Renforcer l’implication dans les projets à dimension internationale,
- Stimuler la mobilité interne, en levant des freins à la prise de fonction,
- Valoriser les parcours techniques et experts, souvent éloignés des dispositifs classiques de reconnaissance managériale.
Mais surtout, nous voyons combien l’apprentissage linguistique peut devenir un levier de développement personnel, d’assurance professionnelle et d’alignement avec le projet d’entreprise.
C’est dans cette optique que nous travaillons en synergie avec Equoranda qui a rejoint le groupe LDS.
Equoranda est un organisme de formation, acteur spécialisé dans l’engagement des collaborateurs, le développement des soft skills managériaux et de l’efficacité relationnelle.
➡️ En combinant l’expertise en formation en langues étrangères sur mesure de LDS et l’accompagnement d’Equoranda en matière de management, nous accompagnons les entreprises dans des parcours complets, qui relient langue, posture, sens et performance collective.
Conclusion : et si former aux langues, c’était aussi former à l’engagement ?
Trop souvent perçue comme une simple mise à niveau, la formation linguistique mérite d’être reconsidérée comme un vecteur de motivation, de projection et d’épanouissement professionnel.
Elle répond à des aspirations fortes :
- apprendre,
- se sentir compétent,
- évoluer dans un environnement international,
- fluidifier ses échanges,
- gagner en efficacité relationnelle,
- contribuer en et avec confiance.
La question n’est plus : « Mon collaborateur a-t-il le bon niveau d’anglais ? »
mais : « Et si apprendre une langue lui permettait de mieux s’engager, de mieux coopérer… et de mieux se réaliser ? »